𝗣𝗢𝗥𝗧𝗥𝗔𝗜𝗧(𝗦) s’installe au Grand établissement thermal et dans le Hall des sources où seront présentées les expositions en intérieur. À ces lieux emblématiques de Vichy s’ajoutent d’autres lieux d’exposition situés en extérieur : l’esplanade du Lac d’Allier et les parvis de la gare et du Grand établissement thermal. Près de 10 expositions constituent ce riche parcours photographique proposé pour cette année du 23 juin au 1er octobre tous les jours de 10H à 18H en entrée libre !
Les temps fort :
Vendredi 23 juin :
18h : inauguration de la 11e édition de Portrait(s) au grand établissement thermal
Samedi 24 juin :
11h00 : Inauguration de l’exposition sur l’esplanade du lac d’Allier.
Telle une muse, Vichy, Reine des Villes d’Eaux décroche régulièrement des premiers rôles en servant de décor pour nombre de romanciers et de réalisateurs : de la plume de Georges Simenon qui suit à Vichy la cure du commissaire Maigret à l’oeil du réalisateur Christian Dugay qui reconstitue la première boutique de Coco Chanel dans les galeries du fer à cheval, Vichy charme, Vichy captive, Vichy inspire. Un charme d’antan où l’art s’épanouit. Pour cette 11e édition, PORTRAIT(S) se déploiera dans l’espace public, scénographie caractéristique de cet événement de la cité thermale entre centre-ville et bords d’Allier et, pour la première fois, dévoilera ses regards du monde entier, ses regards singuliers, son atlas de la beauté du monde, sa « Comédie Humaine », dans le Grand établissement thermal, renouant ainsi avec son héritage qui s’inscrit dans la tradition thermale avec un développement original et prestigieux associant santé et loisirs, où l’art est constitutif de la personnalité de la Ville. Venez y découvrir aussi la 9e résidence photographique qui mettra à l’honneur, à travers l’objectif de Letizia Le Fur, nos seniors actifs. À travers leur expérience et leur savoir-vivre, ils font rayonner nos territoires et entretiennent nos patrimoines thermaux et culturels. Une onzième édition au carrefour de l’intergénérationnel avec, également, les CE1 de l’école Sévigné–Lafaye qui signent les travaux 2023 de Portrait(s) s’invite à l’école. Je vous souhaite à tous une belle déambulation photographique !
Frédéric Aguilera
Maire de Vichy
Président de Vichy Communauté
1er Vice-Président du Conseil départemental de l’Allier
Une édition dédiée à la création photographique française.
Pour cette nouvelle édition, le rendez-vous photographique Portrait(s) investit le grand établissement thermal de Vichy, magnifique bâtiment inauguré en 1903, oeuvre de l’architecte Charles Lecoeur, ainsi que le Hall des Sources, et accueille en extérieur une grande rétrospective du photographe néerlandais Erwin Olaf. La mécanique des corps est présente au fil des neuf expositions du programme. Lorsque l’on découvre un artiste, comme le photographe belge Jacques Sonck et ses incroyables portraits noir et blanc de street photographie, on se réjouit d’accueillir sa première exposition en France. « En quoi suis-je un original ? » pourrait-être le sous-titre de sa série Archetypes. Sonck s’intéresse à ces personnes extraordinaires, charismatiques et qui, par leur physique, leur accoutrement ou leur présence attirent l’oeil dans une Comédie humaine revisitée. Fils et petit-fils de militaires, Stéphane Lavoué est allé pour sa part saisir les visages de l’engagement dans les grandes écoles militaires. Allons enfants ! nous emmène de la vie de caserne jusque sur le terrain, dans le quotidien et la préparation au combat de ces jeunes dont la vie pourra potentiellement basculer sur un théâtre d’opérations. Gilles Leimdorfer est allé lui à la rencontre d’anciennes Miss France des années 1965 à 1985 et a construit un kaléidoscope d’objets de mémoire. Avec la complicité de ces anciennes reines de beauté, il recompose ce que fut leur notoriété, un moment de leur vie brièvement mais intensément placé sous la lumière. Stéphane Lavoué et Gilles Leimdorfer font tous deux partie des photographes de la grande commande nationale « Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire » financée par le ministère de la Culture et pilotée par la BnF. Cette année, ce sont aussi les métiers de l’image qui sont à l’honneur. En coulisses, ils oeuvrent à la mise en lumière, participent à la création. Après avoir invité une galerie, un collectionneur et une agence de presse, deux autres métiers sont présentés : celui d’agent de photographes à la faveur d’une imposante exposition collective, et celui de producteur pour la résidence. Qu’y-a-t-il derrière une image ? L’oeil du photographe, bien sûr, mais aussi les métiers de l’ombre auxquels deux expositions rendent ici hommage : la production et le métier d’agent.
Nous percevons une image, elle nous raconte une histoire. Pour définir l’importance de ce premier métier, la production photographique, nous nous sommes appuyés sur le savoir-faire de Cinq Étoiles Productions. Le métier de producteur consiste à mettre au service du photographe les éléments et les moyens nécessaires qui lui permettront de réaliser une image : un décor, une équipe de coiffeur, maquilleur, styliste, des assistants, de la lumière, … et tant d’autres métiers essentiels pour réaliser un projet visuel telle qu’une photographie ou un film. C’est Letizia Le Fur qui signe la résidence portée par Cinq Étoiles Productions et propose une mise en scène tendre et décalée. Avec sa chromie si particulière, la photographe met en scène un casting d’une vingtaine de Vichyssois, seniors actifs de la ville. Pour incarner le second métier, celui d’agent de photographes, c’est l’histoire d’une femme, Carole Lambert. Il y a trente ans, elle monte sa propre agence : Lambert Lambert. Entre contrats et confessions intimes, un agent découvre des nouveaux talents, les défend, les porte et les vend au service d’une création majoritairement commerciale. Il accompagne chacun de ses artistes dans sa production de commande ou plus personnelle parfois. L’exposition Étoiles d’agent présente une traversée artistique multidisciplinaire grâce à laquelle l’agence nous fait découvrir la richesse de cette profession à travers une sélection de douze de ses artistes les plus créatifs, photographes, vidéastes et set designers, conjuguant travaux personnels et de commande. Avec Charlotte Krieger, Benni Valsson, Laura Pelissier, Eva Wang, Valentin Abad, Charles Negre, Korner Union, Sophie Van der Perre, Lilian Hardouineau, Kourtney Roy, Marine Armandin, Vincent Fournier. Transmission Des mots pour voir. La Fondation d’entreprise Neuflize OBC présente Des mots pour voir, une exposition qui met en valeur les oeuvres de la collection photographique et vidéographique de la Banque Neuflize OBC. Ce sont les photographies de Mathieu Pernot, extraites de sa série Les Gorgan, qui nous sont prêtées cette année. Les images ont été confiées à notre médiatrice qui les a fait circuler dans la sphère publique de la ville de Vichy. Enregistrées dans une capsule sonore, les réactions du public offrent un point de vue sincère et spontané sur la compréhension de l’image.
La voix du regard. Analyser une photographie à travers un montage sonore et vidéo. Brigitte Patient nous emmène dans un voyage visuel, décrivant ce qu’elle perçoit, ce qu’elle imagine, ce qu’elle sait du photographe et de sa place dans l’histoire de la photographie. Le spectateur, guidé par sa voix, suit son regard dans une image mouvante qui petit à petit se révèle… Cette année c’est le performer chinois Liu Bolin qui est présenté dans l’espace du Hall des Sources. Portrait(s) s’invite à l’école se poursuit cette année avec une classe de CE1 de l’école Sévigné Lafaye et donne lieu à un nouvel atelier consacré au reportage en photographie. Pour cette édition, les enfants délaissent l’image numérique afin de renouer avec la pratique de l’argentique. Un atelier autour du développement et du tirage papier. Portrait(s) rend hommage chaque année aux artistes et aux métiers de l’image et veille depuis sa création à mettre à l’honneur la photographie française. Un grand merci aux photographes et aux artistes. Merci aux équipes de Portrait(s) à Vichy et à Paris qui oeuvrent chaque jour pour que ce rendez-vous photographique poursuive sa route. Merci tout particulièrement à la Ville de Vichy, Vichy Culture, aux scénographes et équipes techniques. Merci aussi à nos fidèles et précieux partenaires, engagés à nos côtés depuis la création de Portrait(s) : Neuflize OBC, SNCF Gares & Connexions, Cinq Étoiles Productions. Nos Partenaires publics : la ville de Vichy, la Direction régionale des affaires culturelles Auvergne Rhône-Alpes, Allier Bourbonnais le département.
PORTRAIT(S) EN 2023
au programme :
Le photographe belge Jacques Sonck réalise des portraits analogiques en noir et blanc dans la rue et en studio, toujours à l’affût de l’extraordinaire. Quels que soient leurs âges, genres et origines, il est attiré par les individus qui se distinguent dans la foule par une anomalie dans leur apparence, leur attitude extravertie ou leur style vestimentaire. Son oeuvre peut être vue comme un échantillon excentrique de la société flamande à partir des années 1970. Vus dans leur ensemble, ses portraits comiques, tragiques, mélancoliques et joyeux composent une étude approfondie de la condition humaine. « D’une certaine façon, j’essaie de réaliser un document sur les êtres qui vivent à cette époque et dans cette partie du monde. C’est la diversité qui m’intéresse. Peut-être que grâce à mon travail, les gens apprennent à voir différemment, avec une curiosité empathique envers mes sujets. Nous sommes tous différents, tel est mon leitmotiv, et que nous en soyons fiers en est le message. » Jacques Sonck est représenté par la galerie FIFTY ONE, Anvers.
Qui sont les nouveaux visages de l’armée française et quelles sont les raisons de ce nouvel engouement pour la carrière des armes ? Fils et petit-fils de militaires, Stéphane Lavoué a grandi entouré d’hommes en treillis. Particulièrement attentif au rôle des armées pendant les épisodes de confinement, au retour de la guerre aux portes de l’Europe depuis plus d’un an et aux effets inattendus ou prévisibles que ces événements ont provoqués, il n’a pu faire autrement que constater l’augmentation du nombre de vocations de jeunes gens pour la carrière militaire. « C’est la première fois depuis longtemps qu’on atteint nos objectifs de recrutement », se félicitent les états-majors des différentes armes. Le début de la guerre en Ukraine et le passage en « économie de guerre » ont contribué à resserrer le lien « armée-nation ». Pour trouver des réponses à ses interrogations, Stéphane Lavoué est allé́ à la rencontre de ces jeunes dans différentes écoles et centre de formation : écoles d’officiers – l’École Navale, Saint-Cyr Coëtquidan –, de sous-officiers – l’ENSOA à Saint-Maixent – et de militaires du rang – Centre de formation initiale militaire de Bitche. Ces photographies ont été produites dans le cadre de la grande commande nationale "Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire" financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BnF.
Dans la continuité de son travail d’exploration de notre imaginaire collectif, Gilles Leimdorfer a initié un travail autour du concours des Miss France qui fait partie, comme le Tour de France ou la Nationale 7, de notre culture populaire. Il s’est attaché à photographier d’anciennes candidates aux concours des années 1965 à 1985, période charnière avant les retransmissions télévisées. Il raconte et documente ainsi des femmes de plus de soixante ans étrangement invisibles, disparues de nos écrans, absentes de nos représentations. Après de longues recherches, il s’est rendu chez douze anciennes lauréates et sur les lieux de leur jeunesse. Avec leur complicité il a fouillé dans leurs archives personnelles à la recherche de parutions de presse relatives à leur élection et de photographies d’elles-mêmes enfants ou adolescentes. Miss France est ici un prétexte qui lui a permis de sillonner le territoire à la recherche de ces femmes qui naguère, un peu par hasard, ont endossé le temps d’une soirée un costume de princesse. Ces photographies ont été produites dans le cadre de la grande commande nationale « Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire » financée par le Ministère de la culture et pilotée par la BnF.
Ils se nomment Jeany, Jean-Paul, Marie-Alice, Nicole, Ginette, Titi, Bernie, Coco, Brigitte, Daniel, Ryad. Ils ont l’âge du coeur qui ne se compte pas en décennies mais en printemps toujours renaissants. Ils sont les héros de Letizia Le Fur, invitée de la 8e résidence de Vichy. Avec comme toile de fond le thème du carreau Vichy, cette artiste qui travaille sa palette photographique comme un peintre a quadrillé la ville et portraituré des seniors enjoués. Devant son objectif, ils ont libéré leur fantaisie, endossant les habits aux couleurs sur-vitaminées du pianiste virtuose ou de la femme fatale, du danseur ou du dandy. Par leur excentricité, ils redonnent même des couleurs aux lieux qu’ils investissent : opéra, thermes, église, centre culturel… Assurée que « Le bonheur supprime la vieillesse » (Franz Kafka), Letizia Le Fur a redéfini les contours d’un monde fantasque où s’exprime, bon an mal an, la légèreté de vivre. Résidence présentée par Cinq Étoiles Productions. Équipe production : Carolina Anselius, Chloé Dardennes, Marjorie Donnart, Sandrine Gonzales. Avec le soutien de Leica Camera France, et RVZ. Livre aux éditions Filigranes, avec le soutien de FMAlebureau / Florence Moll.
Une cheffe d’orchestre, une apporteuse d’affaires et une complice : les photographes définissent ainsi leur agent. Fondatrice de Lambert Lambert, Carole Lambert est à la tête, depuis 1991, d’une agence de talents qui oeuvrent dans la production d’images fixes et de films. Spécialisée dans le secteur de la beauté et du luxe, Lambert Lambert choisit des photographes, des directeurs artistiques et des set designers qui les représentent auprès de clients prestigieux. Cette exposition collective qui reflète l’oeil éclectique et pointu de Carole Lambert regroupe une sélection de douze artistes. Leurs univers puisent dans des travaux de commande et des images plus personnelles, quasi plasticiennes. Lambert Lambert, c’est un savant équilibre entre l’artistique, le commercial et un esprit rock n’roll. Charlotte Krieger, Benni Valsson, Laura Pelissier, Eva Wang, Valentin Abad, Charles Negre, Korner Union, Sophie Van der Perre, Lilian Hardouineau, Kourtney Roy, Marine Armandin, Vincent Fournier
La Fondation d’entreprise Neuflize OBC présente Des mots pour voir, une exposition pour mettre en valeur les oeuvres de la Collection photographique et vidéographique de Neuflize OBC. Portrait(s) et la Fondation poursuivent le projet innovant mis en oeuvre en 2018 : porter à la connaissance du grand public les trésors de cette collection d'entreprise. Un dispositif d’analyse et d’échange autour des oeuvres est proposé via une médiation afin de favoriser une conversation ouverte et continue entre le public, les scolaires, les experts et les artistes. Cette année, trois oeuvres de l’artiste Mathieu Pernot, issues de la Collection d’entreprise Neuflize OBC, sont présentées pendant la durée du festival. Les commentaires du public recueillis par la médiatrice en amont de l’exposition sont diffusés dans la salle d’exposition. Pendant ses études à l’École nationale de la photographie d’Arles en 1995, Mathieu Pernot fait la connaissance d’une famille de rom, les Gorgan. Depuis lors, il témoigne de leurs morts et de leurs naissances, de leurs jeux et de leurs petits métiers. À la fois généalogiste, parrain et portraitiste de la famille, son engagement va bien au-delà de la chronique photographique. Il éclaire toute sa recherche, dans une approche qu’on pourrait qualifier de "monumentaire" ou "documental". Citations extraites du texte de Pauline de Laboulaye. Médiation : Camille Carrias Montage sonore : Félix Fouchet
Brigitte Patient a parcouru la décennie d’expositions de Portrait(s) et choisi un(e) artiste, une image de ce corpus. Elle nous emmène dans un voyage visuel, décrivant ce qu’elle perçoit, ce qu’elle imagine, ce qu’elle sait du photographe et de sa place dans l’histoire de la photographie. Le spectateur, guidé par sa voix, suit son regard dans une image mouvante qui petit à petit se révèle… C’est ainsi que vous découvrirez cette année une photographie de l’artiste performer chinois Liu Bolin. La parole singulière de Brigitte Patient s’expose en dialogue avec une photographie, suscitant curiosité et désir de voir. Liu Bolin est représenté par la GALERIE PARIS-B Montage sonore : Félix Fouchet
Le rendez-vous photographique Portrait(s) poursuit ses actions en direction du public scolaire. L’initiative Portrait(s) s’invite à l’école lancée en 2017 continue avec une classe de CE1 de l’école Sévigné Lafaye et donne lieu à un nouvel atelier consacré au reportage en photographie. Animée par Jérôme Schirtzinger, du service des Expositions, et Christophe Darbelet, photographe, la classe a travaillé dans les nombreux parcs qui bordent la cité thermale. Promeneurs et modèles ont été abordés et photographiés par les enfants. Pour cette édition, les enfants ont délaissé l’image numérique et privilégié un retour aux pratiques de l’argentique. C’est la promesse d’un atelier autour du développement et du tirage papier. Cet atelier est rendu possible par les actions conjointes de Pierre Lacassagne, instituteur de l’école élémentaire Sévigné Lafaye et de la Ville de Vichy.
Partenaire de Portrait(s) Vichy pour la 6e édition consécutive, SNCF Gares & Connexions renouvelle son soutien à cette manifestation culturelle incontournable du territoire. Une nouvelle fois, la gare de Vichy va ainsi se transformer en extension du festival, préambule à l’exposition qui prendra place sur le parvis. La gare de Paris Bercy Bourgogne Pays d’Auvergne, où les trains à destination de Vichy prennent le départ, se fera également cette année l’écho de cette manifestation, invitant le voyageur à venir la découvrir sur place dans son intégralité. BnF à l’occasion de la Grande Commande Photojournalisme, un espace en gare de Vichy sera dédié aux travaux des photographes Gilles Leimdorfer et Stéphane Lavoué. Ce focus fera écho aux deux expositions qui leur sont consacrées au sein de la prochaine édition de Portrait(s) Vichy.
Les images du photographe néerlandais Erwin Olaf (né en 1959) sont aujourd’hui mondialement connues. Encore récemment couvert d’éloges pour ses portraits de la famille royale néerlandaise, l’artiste poursuit depuis près de quarante ans une oeuvre où il manifeste d’extraordinaires talents de conteurs à travers des images à la chromie subtile. On y croise des beautés hitchcockiennes désoeuvrées, des enfants aux yeux tristes, on y évolue dans des univers domestiques de papier glacé, des décors aux ambiances crépusculaires. L’isolement est à la fois extérieur et intérieur. L’équilibre parfait des compositions remédie au déséquilibre des vies. Le long de l’Allier, l’artiste présente ses séries les plus emblématiques. Erwin Olaf est représenté par la Galerie Rabouan-Moussion, Paris.
A partir du 1er décembre, collecte des déchets ménagers (sacs et bacs noirs) uniquement le VENDREDI